Images
Madrid
Carlos Alonso Palate (2006), Diego Armando Estacio (2006)
La fourgonnette-bombe, chargée avec 200 kilos d’explosifs, provoca d’importants dégâts matériels. Source: ABC.
Madrid
Carlos Alonso Palate (2006), Diego Armando Estacio (2006)
Les victimes se reposaient à l’intérieur de leurs voitures et furent ensevelies sous les décombres après l’explosion de la fourgonnette-bombe. Source: ABC.
Madrid
Carlos Alonso Palate (2006), Diego Armando Estacio (2006)
L’explosion d’une fourgonnette-bombe dans le parking de la Terminale 4 de l’Aéroport de Barajas tua deux citoyens équatoriens Carlos Alonso Palate et Diego Armando Estacio. Source: ABC.
Madrid
Atentados del 11-M (2004)
Les services d’émergence s’occupèrent d’environ 1500 personnes qui furent blessées dans les attentats. Source: ABC.
Madrid
Atentados del 11-M (2004)
Á la gare de El Pozo se concentra le plus grand nombre de victimes: 65. Source: ABC.
Madrid
Atentados del 11-M (2004)
En tout 64 personnes furent tuées dans l’explosion du train qui circulait en face de la rue Téllez. Source: ABC.
Madrid
Atentados del 11-M (2004)
Les attentats eurent lieu en face de la rue Téllez et dans les gares de El Pozo, Santa Eugenia et Atocha, où fut prise cette photo. Source: ABC.
Madrid
Luis Ortiz De la Rosa (2001)
La puissante explosion causa des dégâts matériels importants dans des dizaines de logements du quartier d’Aluche. Source: ABC.
Madrid
Luis Ortiz De la Rosa (2001)
La zone du quartier madrilène d’Aluche dans laquelle explosa la voiture-bombe qui tua l’agent de la Police nationale Luis Ortiz de la Rosa. Source: ABC.
Madrid
Justo Oreja Pedraza (2001)
Les funérailles du brigadier de l’Armée de Terre Justo Oreja Pedraza, qui avait été très grièvement blessé un mois avant dans un attentat avec une bombe déposée par l’ETA. Source: ABC.
Madrid
Francisco Sanz Morales (2000)
Les marques des balles que des membres de la bande terroriste GRAPO tirèrent contre l’agent de la Police nationale Francisco Sanz Morales. Source: ABC.
Madrid
Francisco Sanz Morales (2000)
Vicinity of Alondra Street, where members of GRAPO killed national police, Francisco Sanz Morales. Source: ABC.
Madrid
José Francisco Querol Lombardero (2000), Jesús Escudero García (2000), Armando Medina Sánchez (2000), Jesús Sánchez Martínez (2000)
L’autobus que conduisait Jesús Sánchez Martínez, qui décéda quelques jours après l’attentat, fut calciné à cause de l’onde expansive. Source: ABC.
Madrid
José Francisco Querol Lombardero (2000), Jesús Escudero García (2000), Armando Medina Sánchez (2000), Jesús Sánchez Martínez (2000)
Les services d’émergence s’occupent de l’une des 64 personnes blessées. Source: ABC.
Madrid
José Francisco Querol Lombardero (2000), Jesús Escudero García (2000), Armando Medina Sánchez (2000), Jesús Sánchez Martínez (2000)
Le numéro 60 de l’avenue de Badajoz où l’ETA fit exploser une voiture-bombe qui tua le magistrat du Tribunal suprême José Francisco Querol y Lombardero, son chauffeur, Armando Medina Sánchez, et son escorte, Jesús Escudero García, et blessa le conducteur d’autobus Jesús Sánchez Martínez, qui décéda quelques jours après. Source: ABC.
Madrid
José Francisco Querol Lombardero (2000), Jesús Escudero García (2000), Armando Medina Sánchez (2000), Jesús Sánchez Martínez (2000)
L’état du véhicule dans lequel voyageaient le magistrat Francisco Querol y Lombardero, son chauffeur et son escorte, un ramassis de féraille. Source: ABC.
Madrid
Pedro Antonio Blanco García (2000)
La veuve du lieutenant colonel Pedro Antonio Blanco, Concepción Martín, pendant les funérailles. Source: ABC.
Madrid
Pedro Antonio Blanco García (2000)
L’intérieur de la crèche proche de l’endroit où eut lieu l’attentat avec une voiture-bombe contre le lieutenant colonel Pedro Antonio Blanco. Source: ABC.
Madrid
Pedro Antonio Blanco García (2000)
La zone de logements militaires dans laquelle une voiture-bombe de l’ETA tua le colonel de l’Armée Pedro Antonio Blanco. Source: ABC.
Madrid
Rafael Martínez Emperador (1997)
La chapelle ardente du magistrat du Tribunal suprême Rafael Martínez Emperador, assassiné par l’ETA. Source: ABC.
Madrid
Rafael Martínez Emperador (1997)
Le cadavre du magistrat du Tribunal suprême Rafael Martínez Emperador, assassiné d’un coup de feu à la tête près de son domicile. Source: ABC.
Madrid
Luis Delgado Villalonga (1988), Jaime Bilbao Iglesias (1988)
La façade de l’immeuble de la Direction générale de la Gendarmerie après l’explosion d’une voiture-bombe qui tua l’enfant de deux ans Luis Delgado et l’employé de la Télévision Espagnole Jaime Bilbao. Source: ABC.
Madrid
Francisco Tomás y Valiente (1996)
Des étudiants avec les mains peintes en blanc se manifestent pour condamner l’assassinat du professeur de Droit constitutionnel . Source: ABC.
Madrid
Atentado en el Puente de Vallecas (1995)
L’explosion d’une voiture-bombe chargée avec cinquante kilos d’explosifs tua six travailleurs civils du Parc Automobile de l’Armée: Manuel Carrasco Almansa, Santiago Esteban Junquer, José Ramón Intriago Esteban, Florentino López del Castillo, Félix Ramos Bailón et Martín Rosa Valera. Source: ABC.
Madrid
Atentado en el Puente de Vallecas (1995)
L’explosion de la voiture-bombe blessa 17 personnes, dont 5 grièvement. Source: ABC.
Madrid
Atentado en el Puente de Vallecas (1995)
Las víctimas se dirigían a sus hogares tras completar su jornada laboral. Fuente: ABC.
Madrid
Margarita González Mansilla (1995)
L’explosion de la voiture-bombe contre le véhicule de José María Aznar toucha le domicile de Margarita González, âgée de 73 años, qui fut grièvement blessée et décéda trois mois après l’attentat. Source: ABC.
Madrid
Margarita González Mansilla (1995)
Les restes de la voiture-bombe qui explosa au passage du véhicule dans lequel voyageait José María Aznar, alors leader de l’opposition. Source: ABC.
Madrid
Francisco Veguillas Elices (1994)
Le véhicule blindé du lieutenant général Veguillas Elices s’enflamma après l’explosion d’une voiture-bombe chargée avec quarante kilos d’explosifs. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la Calle López de Hoyos (1993)
La puissante explosion causa des blessures à quarante personnes, dont trois enfants. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la Calle López de Hoyos (1993)
L’intérieur du véhicule fut complètement détruit par l’explosion de la voiture-bombe déposée par l’ETA. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la Calle López de Hoyos (1993)
Une des petites filles blessées après l’explosion de la voiture-bombe de l’ETA qui tua les sept occupants d’un véhicule militaire. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la Calle López de Hoyos (1993)
Etat du véhicule militaire après l’explosion d’une voiture-bombe que l’ETA avait chargée avec quarante kilos d’explosifs. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la Calle López de Hoyos (1993)
L’explosion d’une voiture-bombe au passage d’une fourgonnette militaire tua sept personnes: le lieutenant colonel de l’Armée de Terre Javier Baró Díaz de Figueroa; le lieutenant colonel de l’Armée de l’Air José Alberto Carretero Sogel; le sergent premier de l’Armée José Manuel Calvo Alonso; le lieutenant colonel de l’Armée de Terre Fidel Dávila Garijo; le capitaine de frégate de l’Armée Domingo Olivo Esparza; le fonctionnaire civil du Ministère de la Défense Pedro Robles López, qui conduisait le véhicule; et le lieutenant colonel de l’Armée de l’Air Juan Romero Álvarez. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la plaza de la Cruz Verde (1992)
Cadáveres cubiertos de algunos de los cinco ocupantes del vehículo militar que fue objeto de un atentado en la plaza de la Cruz Verde, en pleno centro de Madrid. Fuente: ABC.
Madrid
Atentado en la plaza de la Cruz Verde (1992)
La voiture-bombe qui tua les cinq occupants d’un véhicule militaire explosa à 300 mètres du siège de l’Etat-major, dans la rue Mayor, tout près de la Puerta del Sol. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la plaza de la Cruz Verde (1992)
L’explosion d’une voiture-bombe dans la place de la Cruz Verde au passage d’un véhicule militaire tua les cinq occupants: le soldatFrancisco Carrillo García, les capitaines Juan Antonio Núñez Sánchez, Ramón Carlos Navia Refojo et Emilio Domingo Tejedor Fuentes, et le fonctionnaire de la Poste, Antonio Ricote Castillo. Source: ABC.
Madrid
Juan José Carrasco Guerrero (1992)
Le jeune économiste Juan José Carrasco décéda à cause de l’explosion d’une bombe placée sous la voiture qu’il partageait avec son père, le colonel en réserve Félix Manuel Carrasco Pérez-Machado.
Madrid
Carmen Tagle González (1989)
Le cadavre de la fiscale de l’Audience nationale Carmen Tagle, abattue à coups de feu à l’entrée de son domicile. Source: ETA.
Madrid
José Martínez Moreno (1989)
Le père du colonel Martínez Moreno assiste à la chapelle ardente de son fils, assassiné par l’ETA. Source: ABC.
Madrid
José Martínez Moreno (1989)
Des terroristes de l’ETA tirèrent une rafale de trente balles sur le véhicule dans lequel voyageait le colonel de l’Armée de l’Air Martínez Moreno, qui fut tué sur le coup. Source: ABC.
Madrid
José María Martín-Posadillo Múñiz (1989), Ignacio Julio Barangua Arbués (1989)
Des trous de balle dans une façade proche de l’endroit où l’ETA mitrailla le véhicule militaire dans lequel voyageaient les victimes, le colonel Martín-Posadillo et le commandant Barangua. Source: ABC.
Madrid
José María Martín-Posadillo Múñiz (1989), Ignacio Julio Barangua Arbués (1989)
Deux membres de l’ETA mitraillèrent le véhicule dans lequel voyageaient le colonel Martín-Posadillo et le commandant Barangua, qui furent tués sur le coup. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la plaza de la República Dominicana (1986)
L’explosion de la fourgonnette-bombe toucha à plein l’autobus dans lequel soixante jeunes gendarmes se dirigeaient vers l’Ecole de la Circulation de la rue Príncipe de Vergara. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la plaza de la República Dominicana (1986)
L’explosion d’une fourgonnette-bombe au passage d’un convoi de la Gendarmerie tua 12 gendarmes et 78 personnes furent blessées. Source: ABC.
Madrid
Ricardo Sáenz de Ynestrillas Martínez (1986), Carlos Vesteiro Pérez (1986), Francisco Casillas Martín (1986)
Des agents de la Police s’occupent des militaires victimes de l’attentat près du domicile du commandant Sáenz de Ynestrillas. Source: ABC.
Madrid
Ricardo Sáenz de Ynestrillas Martínez (1986), Carlos Vesteiro Pérez (1986), Francisco Casillas Martín (1986)
Deux membres de l’ETA qui se firent passer par un couple de fiancés tuèrent à coups de feu les trois occupants d’un véhicule militaire qui circulait dans l’avenue du Manzanares. Source: ABC.
Madrid
Ricardo Sáenz de Ynestrillas Martínez (1986), Carlos Vesteiro Pérez (1986), Francisco Casillas Martín (1986)
Le soldat conducteur, Francisco Casillas Martín,le commandant Sáenz de Ynestrillas et le lieutenant colonel Vesteiro furent abattus par deux membres de l’ETA qui se firent passer par un couple de fiancés. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la calle Juan Bravo (1986)
L’explosion d’une voiture-bombe tua cinq gendarmes qui rentraient chez eux après leur tour de surveillance dans différentes ambassades du centre de Madrid. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la calle Juan Bravo (1986)
Etat de la Land Rover de la Gendarmerie après l’explosion d’une voiture-bombe qui tua les cinq occupants: Juan Carlos González Rentero, Vicente Javier Domínguez González, Juan José Catón Vázquez, Juan Mateos Pulido et Alberto Amancio Alonso Gómez. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la calle Juan Bravo (1986)
La puissance de l’explosion projeta le corps d’un des gendarmes hors de la voiture. Source: ABC.
Madrid
Atentado en la calle Juan Bravo (1986)
L’attentat eut lieu à quelques mètres de la maternité Nuestra Señora del Rosario, où se trouvaient 55 femmes et 60 bébés. Source: ABC.
Madrid
Cristóbal Colón de Carvajal y Maroto (1986), Manuel Trillo Muñoz (1986)
Trou ouvert par une balle contre une vitre latérale du véhicule dans lequel voyageait Colón de Carvajal. Source: ABC.
Madrid
Cristóbal Colón de Carvajal y Maroto (1986), Manuel Trillo Muñoz (1986)
La casquette du vice-amiral Colón de Carvajal dans la partie arrière du véhicule où il voyageait quand il fut assassiné. Source: ABC.
Madrid
Cristóbal Colón de Carvajal y Maroto (1986), Manuel Trillo Muñoz (1986)
Le cadavre du vice-amiral de l’Armée Cristóbal Colón de Carvajal y Maroto, assassiné à coups de feu ainsi que son chauffeur, Manuel Trillo, dans le quartier de El Viso. Source: ABC.
Madrid
Vicente Romero González-Calatayud (1985), Juan García Jiménez (1985)
Le colonel Vicente Romero González-Calatayud et son chauffeur, Juan García Jiménez, furent assassinés à coups de feu en plein quartier de Salamanca. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra el restaurante El Descanso (1985)
L’explosion d’une bombe dans le restaurant El Descanso, près de la base aérienne de Torrejón de Ardoz, tua 18 personnes et 84 autres furent blessées. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra el restaurante El Descanso (1985)
Les cadavres de certaines des 18 victimes de l’attentat contre le restaurant El Descanso couverts avec des nappes. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra el restaurante El Descanso (1985)
Pendant des heures, les pompiers retirèrent des cadavres ensevelis sous les décombres du restaurant El Descanso. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra el restaurante El Descanso (1985)
Le brutal attentat contre le restaurant El Descanso fut la première attaque islamiste qui eut lieu en Espagne. Source: ABC.
Madrid
Eugene Kenneth Brown (1985)
State of the car-bomb that ETA terrorists blew up at the passing of a vehicle of the Civil Guard and which killed US citizen Kenneth Eugene Brown. Source: ABC.
Madrid
Eugene Kenneth Brown (1985)
L’explosion d’une voiture-bombe au passage d’un véhicule de la Gendarmerie causa la mort d’Eugene Kenneth Brown, un citoyen américain qui se promenait dans la zone où eut lieu l’attentat. Source: ABC.
Madrid
Guillermo Quintana Lacaci (1984)
Le lieutenant général Quintana Lacaci fut assassiné à coups de feu près de son domicile, dans le quartier madrilène d’Argüelles. Source: ABC.
Madrid
Guillermo Quintana Lacaci (1984)
La chapelle ardente du lieutenant général de l’Armée de Terre Guillermo Quintana Lacaci. Source: ABC.
Madrid
Guillermo Tevar Saco (1981), Antonio Nogueras García (1981), Manuel Rodríguez Taboada (1981)
Des dizaines de personnes tourbillonant autour du véhicule dans lequel décédèrent trois militaires à cause de l’explosion d’une bombe. Source : ABC.
Madrid
Guillermo Tevar Saco (1981), Antonio Nogueras García (1981), Manuel Rodríguez Taboada (1981)
La famille des trois militaires assassinés, pendant les funérailles. Source: ABC.
Madrid
Guillermo Tevar Saco (1981), Antonio Nogueras García (1981), Manuel Rodríguez Taboada (1981)
Le corps du soldat Manuel Rodríguez, qui conduisait le véhicule sur lequel explosa un engin qui tua aussi le lieutenant colonel Tevar Saco et le sous-officier Nogueras García. Source: ABC.
Madrid
Guillermo Tevar Saco (1981), Antonio Nogueras García (1981), Manuel Rodríguez Taboada (1981)
Etat du véhicule militaire sur le toit duquel le terroriste de l’ETA Henri Parot déposa un engin qui tua trois des occupants. Source: ABC.
Madrid
Andrés González de Suso y Fernández de Matauco (1981)
Les funérailles du Général de Brigade Andrés González de Suso, assassiné par la bande terroriste GRAPO d’un coup de feu à la tête. Source: ABC.
Madrid
Florentino García Siller (1980)
Le soldat de la Police militaire Florentino García Siller fut assassiné à coups de feu par la bande terroriste GRAPO pendant qu’il voyageait dans un véhicule officiel. Source: ABC.
Madrid
Florentino García Siller (1980)
La famille du soldat García Siller, qui n’avait même pas vingt ans. Source: ABC.
Madrid
José Luis Ramírez Villar (1980)
Des fleurs au numéro 66 de la rue Ayala, où décéda le soldat José Luis Ramírez Villar. Source: ABC.
Madrid
José Luis Ramírez Villar (1980)
L’explosion d’une bombe placée sur une motocyclette tua le soldat José Luis Ramírez Villar. Source: ABC.
Madrid
Triple atentado contra Barajas, Atocha y Chamartín (1979)
Les terroristes déposèrent une des bombes dans la terminale des vols nationaux de l’Aéroport de Barajas, près d’une salle d’attente qui s’en trouva détruite. Source: ABC.
Madrid
Triple atentado contra Barajas, Atocha y Chamartín (1979)
L’explosion en chaîne de trois engins dans les gares d’Atocha et de Chamartín et dans l’Aéroport de Barajas, causa la mort de sept personnes et presqu’une centaine de blessés. L’image correspond à l’explosion dans l’aéroport. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra la cafetería California (1979)
The explosion of the bomb, placed in the toilets, caused more than fifty people injured. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra la cafetería California (1979)
The power of the bomb, consisting of four to five kilos of explosives, left the premises destroyed. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra la cafetería California (1979)
L’explosion d’une bombe déposée par la bande terroriste GRAPO dans le snack-bar California 47 causa la mort de huit personnes. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra un vehículo del Ejército (1979)
Agitation près du Quartier général de l’Armée pendant les funérailles du lieutenant général Luis Gómez Hortigüela; les colonels Agustín Laso Corral et Jesús Ábalos Jiménez; et le conducteur civil Lorenzo Gómez Borrero. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra un vehículo del Ejército (1979)
Des terroristes de l’ETA tirèrent plusieurs rafales de mitraillette sur les quatre occupants d’un véhicule militaire: le lieutenant général Luis Gomez Hortigüela; les colonels Agustín Laso Corral et Jesus Ábalos Jiménez; et le conducteur civil Lorenzo Gómez Borrero. Source: ABC.
Madrid
Constantino Ortin Gil (1979)
Le général Ortin Gil avait avoué à une voisine sa crainte d’être victime d’un attentat. Source: ABC.
Madrid
Constantino Ortin Gil (1979)
Le général Ortin Gil avait avoué à une voisine sa crainte d’être victime d’un attentat. Source: ABC.
Madrid
Francisco Mateu Cánoves (1978)
Les terroristes qui assasinèrent le magistrat Francisco Mateu lancèrent plusieurs grenades contre les passants afin de ne pas être poursuivis dans leur fuite. Source: ABC.
Madrid
Francisco Mateu Cánoves (1978)
ETA terrorists fired several times a Supreme Court justice in the doorway of his home. Source: ABC.
Madrid
Juan Manuel Sánchez Ramos Izquierdo (1978), Juan Antonio Pérez Rodríguez (1978)
Le soldat Pedro de las Heras fut le seul survivant de l’attentat dans lequel furent tués le général Sánchez Ramos et son assistant, Juan Antonio Pérez. Source: ABC.
Madrid
José María Lozano Sáinz (1977), José María Martínez Morales (1977), Fernando Sánchez Hernández (1977)
Les funérailles des deux agents de la Police armée et du gendarme assassinés par la bande terroriste GRAPO. Source: ABC.
Madrid
José María Lozano Sáinz (1977)
L’épouse du gendarme José María Lozano Sáinz, assassiné par la bande terroriste GRAPO, dans la chapelle ardente. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra la cafetería Rolando (1974)
La puissance de l’explosion laissa des dizaines de personnes ensevelies sous les décombres. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra la cafetería Rolando (1974)
Le snack-bar, qui fut complètement détruit, était proche de la Direction générale de la Sécurité, à quelques mètres de la Puerta del Sol. Source: ABC.
Madrid
Atentado contra la cafetería Rolando (1974)
L’explosion d’une bombe composée de trente kilos d’explosifs dans le snack-bar Rolando, dans la rue Correo de Madrid, causa treize morts et soixante blessés. Source: ABC.
Madrid
Luis Carrero Blanco (1973), Juan Antonio Bueno Fernández (1973), Jose Luis Pérez Mogena (1973)
Etat du véhicule officiel du Président du Gouvernement Carrero Blanco, qui s’expose au Musée de l’Armée. Source: ABC.
Madrid
Luis Carrero Blanco (1973), Juan Antonio Bueno Fernández (1973), Jose Luis Pérez Mogena (1973)
Cour intérieure de l’école des Jésuites dans laquelle aterrit le véhicule officiel du Président du Gouvernement, Luis Carrero Blanco, après l’attentat. Source: ABC.
Madrid
Luis Carrero Blanco (1973), Juan Antonio Bueno Fernández (1973), Jose Luis Pérez Mogena (1973)
Etat de la voiture du Président du Gouvernement Luis Carrero Blanco après l’attentat dans la rue Claudio Coello de Madrid. Source: ABC.
Navarre
Joaquín Imaz Martínez (1977)
Deux terroristes tuèrent à coups de feu le commandant Joaquín Imaz dans le parking des arènes de Pampelune. (Jorge Nagore)
Navarre
Joaquín Imaz Martínez (1977)
Environ 3000 personnes assistèrent aux funérailles de Joaquín Imaz. Au premier rang sa veuve, Teresa Azcona, et son unique fille, Carmen. (Zubieta y Retegui)
Navarre
Joaquín Imaz Martínez (1977)
Des fleurs furent déposées dans les arènes sur le lieu du crime (Jorge Nagore)
Navarre
José Manuel Baena (1978)
L’inspecteur José Manuel Baena fut tué pendant un échange de coups de feu avec deux membres d’un commando de l’ETA. (Diario de Navarra)
Navarre
José Manuel Baena (1978)
Une opération antiterroriste qui dura plusieurs jours amena l’inspecteur José Manuel Baena à un appartement de l’avenue San Jorge, à Pampelune, où se cachaient les terroristes (Jorge Nagore)
Navarre
Manuel López González (1978)
L’explosion d’une bombe au passage d’une Land Rover de la Gendarmerie tua l’agent Manuel López González.(Diario de Navarra)
Navarre
José Manuel Baena (1978)
La famille de l’inspecteur se déplaça à Pampelune depuis les îles Canaries pour prendre le cadavre (Diario de Navarra).
Navarre
Manuel López González (1978)
La chapelle ardente de Manuel López González s’installa dans le gymnase du Commandement de Pampelune. (Diario de Navarra)
Navarre
Manuel López González (1978)
L’agent heurta la roue de rechange à cause des effets de l’onde expansive, ce qui lui causa de graves blessures. (Zubieta y Retegui)
Navarre
Francisco Berlanga Robles (1979)
L’artificier Francisco Berlanga fut tué lorsque la bombe qu’il se disposait à desactiver explosa dans une agence immobilière de la place Plaza del Castillo, à Pampelune. (Mena)
Navarre
Francisco Berlanga Robles (1979)
L’agent reçu en plein l’onde expansive et son corps protégea un de ses camarades. (Diario de Navarra)
Navarre
Francisco Berlanga Robles (1979)
La veuve de Francisco Berlanga laissa ses trois petits enfants à Malaga et se déplaça à Pampelune pour prendre le cadavre de son mari. (Jorge Nagore)
Navarre
Jesús Ulayar Liciaga (1979)
Le cortège funèbre, dans lequel participèrent les enfants de l’ancien maire, passa devant le lieu de l’attentat. (Jorge Nagore)
Navarre
Jesús Ulayar Liciaga (1979)
Des années plus tard, la Mairie d’Etxarri-Aranatz plaça des containers à l’endroit où Jesús Ulayar avait été assassiné.
Navarre
Carlos Sanz Biurrun (1979)
L’inspecteur de la Police Carlos Sanz Biurrun fut assassiné à coups de feu par l’ETA en plein jour dans la vieille ville de Pampelune. (Mena)
Navarre
Carlos Sanz Biurrun (1979)
La chapelle ardente de Carlos Sanz s’installa dans le siège du Gouvernement civil et fut visitée par des dizaines de personnes. (Diario de Navarra
Navarre
Pedro Fernández Serrano (1979)
L’explosion d’une bombe placée dans les toilettes de son snack-bar tua Pedro Fernández. (Mena)
Navarre
Sebastián Arroyo González (1980)
Une rafale de mitraillette tua l’ancien gendarme Sebastián Arroyo, qui avait abandonné le Corps depuis quelques années et travaillait dans une entreprise à Alsasua. (Izor)
Navarre
José Oyaga y Jesús Vidaurre (1980)
Les habitants de la rue San Miguel et environs, à Pampelune, se déplacèrent jusqu’à l’endroit où, au petit matin, avaient été tués José Oyaga et Jesús Vidaurre. (Mena)
Navarre
José Oyaga y Jesús Vidaurre (1980)
José Oyaga et Jesús Vidaurre furent assassinés en plein centre de la vieille ville de Pampelune. (Mena)
Navarre
Francisco Ruiz Hernández y Francisco Puig Mestre (1980)
Lorsque les gendarmes Francisco Ruiz et Francisco Puig dînaient au bar Huici, à Goizueta, plusieurs membres de l’ETA entrèrent dans la partie restaurant et les tuèrent à coups de feu. (Florencio Domínguez).
Navarre
Francisco Ruiz Hernández y Francisco Puig Mestre (1980)
Un jeune plaça un drapeau de l’Espagne sur le cercueil de l’un des agents assassinés pendant que les camarades de celui-ci l’introduisaient dans l’église de Cristo Rey. (Mena)
Navarre
Ángel Postigo Mejías (1980)
L’agent de la Police Ángel Postigo avait 24 ans lorsqu’il fut assassiné à Pampelune. (Mena)
Navarre
Ángel Postigo Mejías (1980)
Des camarades de l’agent assassiné transportèrent son cercueil au cimetière de Pampelune. (Mena)
Navarre
Ángel Postigo Mejías (1980)
La famille de l’agent assassiné fut présente pendant les funérailles, qui eurent lieu dans la caserne de Beloso. (Mena)
Navarre
José Luis Prieto Gracia (1981)
L’ancien chef de la Police locale fut assassiné devant l’église dans laquelle il allait à la messe accompagné de la femme. (Mena)
Navarre
José Luis Prieto Gracia (1981)
Following the murder of José Luis Prieto, the streets of Pamplona hosted one of the first mass demonstrations against ETA. (Mena)
Navarre
Vicente Garcerá López (1982)
Un commando de l’ETA attaqua avec une grenade anti-char un convoi de la Police nationale qui tua le conducteur, l’agent Vicente Garcerá. (Mena)
Navarre
Vicente Garcerá López (1982)
La chapelle ardente de l’agent eu lieu dans la caserne de Beloso avec la présence de la famille. L’agent était marié et avait une fille. (Mena)
Navarre
Juan García González (1982)
L’explosion d’une bombe collée sous le véhicule dans lequel voyageaient deux gendarmes tua l’un d’eux, Juan García González. (Mena)
Navarre
Juan García González (1982)
The family of the agent, who was 21 years old, during the funeral held in Pamplona. (Mena)
Navarre
Alberto Toca Echevarria (1982)
Deux membres de l’ETA tuèrent Alberto Toca dans son bureau, situé dans le centre de Pampelune. (Mena)
Navarre
Alberto Toca Echevarria (1982)
Alberto Toca, âgé de 56 ans, était marié et père de sept enfants. (Diario de Navarra)
Navarre
Alberto Toca Echevarria (1982)
Des dizaines d’habitants de Pampelune assistèrent aux funérailles d’Alberto Toca dans la paroisse de San Miguel. (Diario de Navarra)
Navarre
Gregorio Hernández Corchete (1982)
Des membres de l’ETA déchargèrent une rafale de mitraillette contre la caserne de la Gendarmerie de Leitza. (Diario de Navarra)
Navarre
Gregorio Hernández Corchete (1982)
Gregorio Hernández Corchete, qui s’y trouvait pour renouveler son permis d’armes, fut tué à cause des coups de feu. (Diario de Navarra)
Navarre
Gregorio Hernández Corchete (1982)
Les funérailles de Gregorio Hernández eurent lieu dans la paroisse de Leitza. (Diario de Navarra)
Navarre
Antonio Conejo Salguero y Fidel Lázaro Aparicio (1983)
Les agents de la Gendarmerie Antonio Conejo et Fidel Lázaro furent assassinés à coups de pistolet dans un bureau de poste dans le centre de Pampelune. (Diario de Navarra)
Navarre
Antonio Conejo Salguero y Fidel Lázaro Aparicio (1983)
Les familles des agents assistèrent aux funérailles dans la paroisse de San Miguel, à Pampelune. (Mena)
Navarre
Antonio Conejo Salguero y Fidel Lázaro Aparicio (1983)
Des dizaines de personnes se déplacèrent jusqu’à l’eglise pour condamner le double assassinat. (Mena)
Navarre
Jesús Blanco Cereceda (1983)
Un terroriste de l’ETA déguisé avec un chapeau et une fausse moustache tua à coups de pistolet Jesús Blanco Cereceda, chef des Communications de l’Aéroport de Noáin, dans le porche de son domicile. (Mena)
Navarre
Jesús Blanco Cereceda (1983)
Plusieurs personnes déposèrent des fleurs à l’endroit où avait été tué Jesús Blanco Cereceda. (Mena)
Navarre
Jesús Blanco Cereceda (1983)
Le cortège funèbre qui accompagna le cercueil de Jesús Blanco Cereceda jusqu’au cimetière de Pampelune, où il fut enterré. (Mena)
Navarre
Jesús Alcocer Jiménez (1984)
L’ETA tua à coups de pistolet Jesús Alcocer, patron de trois supermarchés, dans le marché central de Pampelune, où il avait l’habitude de s’approvisionner . (Jorge Nagore)
Navarre
Jesús Alcocer Jiménez (1984)
Le cadavre demeura couvert avec une couverture pendant plusieurs heures, alors que dans le marché continuait l’activité quotidienne. (Jorge Nagore)
Navarre
Tomás Palacín Pellejero y Juan José Visiedo Calero (1984)
Après avoir tué Jesús Alcocer, des terroristes de l’ETA placèrent une bombe dans le véhicule dans lequel ils s’étaient enfuis et l’activèrent lorsque deux agents de police se disposaient à en faire l’inspection. (Jorge Nagore)
Navarre
Tomás Palacín Pellejero y Juan José Visiedo Calero (1984)
L’explosion, qui eut lieu près d’un lycée, détruisit les corps des policiers. (Jorge Nagore)
Navarre
Tomás Palacín Pellejero y Juan José Visiedo Calero (1984)
Les agents assassinés avaient 43 et 26 ans, respectivement, et laissèrent trois enfants orphelins. (Jorge Nagore)
Navarre
Luis Ollo Ochoa (1984)
L’onde expansive blessa aussi l’épouse de l’agent assassiné. (Jorge Nagore)
Navarre
Luis Ollo Ochoa (1984)
La onda expansiva hirió también a la esposa del agente asesinado. (Jorge Nagore)
Navarre
Luis Ollo Ochoa (1984)
Les enfants du capitaine assassiné assistèrent aux funérailles sans leur mère, qui se trouvait à l’hôpital en raison des blessures causées par l’explosion. (Jorge Nagore)
Navarre
Diego Torrente Reverte (1984)
Plusieurs enfants à l’endroit de l’assassinat, où furent déposées quelques fleurs. (Jorge Nagore)
Navarre
Diego Torrente Reverte (1984)
Un journaliste, près du cadavre de Diego Torrente, assassiné à coups de pistolet lorsque plusieurs terroristes essayèrent de lui voler sa voiture. (Jorge Nagore)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
Les terroristes activèrent la bombe avec une commande à distance, ils durent donc bien voir qu’il y avait un garçon à côté de l’endroit où ils avaient déposée l’engin. (José Luis Larrión)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
Le pupitre du garçon assassiné, le lendemain de l’attentat. (Diario de Navarra)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
Les services d’urgence se mélangèrent avec les habitants de la rue, épouvantés par ce qui s’était passé. (José Luis Larrión)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
Pendant les funérailles d’Alfredo Aguirre ses camarades du Club de Natation apportèrent une rame, en souvenir du sport qu’il pratiquait. (Jorge Nagore)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
L’explosion d’une bombe cachée dans un sac à ordures tua l’agent de la Police nationale Francisco Miguel et le garçon de 14 ans Alfredo Aguirre (José Luis Larrión)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
Les camarades d’Alfredo Aguirre écrirent son surnom, “Godo”, sur le tableau de la classe. (Jorge Nagore)
Navarre
Alfredo Aguirre Belascoáin, Francisco Miguel Sánchez (1985)
La veuve de Francisco Miguel quitta Pampelune avec ses filles peu après l’assassinat de son mari. (Jorge Nagore)
Navarre
Juan Atarés Peña (1985)
L’épouse de Juan Atarés, agenouillée devant le cadavre de son mari pendant qu’un prêtre qui se promenait dans la zone lui donne l’absolution. (José Luis Larrión)
Navarre
María Cruz Yoldi Orradre (1987)
María Cruz Yoldi, livreuse de journaux, parcourait une rue dans le centre de Pampelune lorsqu’elle fut tuée par l’explosion d’une bombe. (Diario de Navarra)
Navarre
María Cruz Yoldi Orradre (1987)
La terrible explosion lança le corps de María Cruz Yoldi à une distance de dix mètres jusqu’à aterrir sous le pare-chocs d’un véhicule. (Diario de Navarra)
Navarre
María Cruz Yoldi Orradre (1987)
Des dizaines de personnes se concentrèrent à l’endroit de l’explosion pour condamner l’attentat. (Mena)
Navarre
José Ferri Pérez, José Antonio Fernández Álvarez (1988)
La veuve d’un des agents assassinés s’accrocha au cercueil de son mari pendant la chapelle ardente. (Diario de Navarra)
Navarre
José Ferri Pérez, José Antonio Fernández Álvarez (1988)
Les deux agents qui voyageaient dans la voiture officielle furent calcinés. (Enrique Echeverria)
Navarre
José Ferri Pérez, José Antonio Fernández Álvarez (1988)
Estado en el que quedó el vehículo en el que los terroristas alojaron una potente carga explosiva que hicieron estallar al paso de un coche de la Guardia Civil. (Enrique Echeverria)
Navarre
Julio Gangoso Otero (1988)
Des terroristes de l’ETA firent exploser une fourgonnette bombe au passage d’un convoi de la Gendarmerie dans lequel voyageaient les agents qui avaient terminé leur tour de surveillance dans la prison de Pampelune. (Diario de Navarra)
Navarre
Julio Gangoso Otero (1988)
La brutale explosion détruisit plusieurs véhicules et fit éclater les vitres des édifices proches. (Diario de Navarra)
Navarre
Julio Gangoso Otero (1988)
Des agents de la Gendarmerie, de la Police nationale et de la Police locale, portèrent le cercueil de Julio Gangoso en chantant l’hymne de la Gendarmerie. (Javier Sesma)
Navarre
Francisco Almagro Carmona (1990)
Des terroristes du commando Nafarroa de l’ETA tuèrent à coups de feu Francisco Almagro dans le porche de son domicile, à Pampelune. (Diario de Navarra)
Navarre
José Luis Hervás Mañas (1990)
Le sergent de la Gendarmerie José Luis Hervás fut assassiné à coups de pistolet dans la Foz de Lumbier après avoir identifié trois jeunes, membres de l’ETA. (Javier Sesma)
Navarre
José Luis Hervás Mañas (1990)
La famille de José Luis Hervás se déplaça depuis Castellón (Communauté valencienne) pour consoler sa veuve et mère de ses deux enfants.
Navarre
José Luis Hervás Mañas (1990)
Les funérailles eurent lieu à l’église de San Miguel, pleine à craquer, à Pampelune. (Diario de Navarra)
Navarre
Eduardo López Moreno (1995)
L’agent de la Police nationale Eduardo López Moreno fut tué par l’explosion d’une bombe abandonnée dans la caserne de la Gendarmerie d’Endarlatsa. (José Antonio Goñi)
Navarre
Eduardo López Moreno (1995)
L’agent s’était rendu à la caserne, abandonnée depuis des années, pour chercher du matériel réutilisable pour faire des travaux. (José Antonio Goñi)
Navarre
Eduardo López Moreno (1995)
Les funérailles d’Eduardo López Moreno eurent lieu dans la caserne de la Police nationale de Beloso, à Pampelune. (José Antonio Goñi)
Navarre
Tomás Caballero Pastor (1998)
Dans la séance plénière extraordinaire convoquée pour condamner son assassinat, les camarades de Tomás Caballero déposèrent des fleurs sur son siège (Calleja)
Navarre
Tomás Caballero Pastor (1998)
Le conseiller municipal de UPN (Union du Peuple Navarre) à la Mairie de Pampelune Tomás Caballero fut assassiné d’un coup de pistolet dans la tête lorsqu’il venait de monter dans sa voiture, garée près de son domicile. (Diario de Navarra)
Navarre
Tomás Caballero Pastor (1998)
Une manifestion multitudinaire remplit le centre de Pampelune après les funérailles du conseiller municipal assassiné. (José Antonio Goñi)
Navarre
Francisco Casanova Vicente (2000)
Le sous-lieutenant de l’Armée Francisco Casanova fut assassiné à coups de feu lorsqu’il introduisait sa voiture dans le garage de son domicile. (José Carlos Cordovilla)
Navarre
Francisco Casanova Vicente (2000)
Les parents du sous-lieutenant assassiné, peu après avoir appris la nouvelle. (José Antonio Goñi)
Navarre
Francisco Casanova Vicente (2000)
Le fils de la victime, âgé de onze ans, descendit dans la rue après avoir entendu les coups de feu et trouva le cadavre de son père. (José Carlos Cordovilla)
Navarre
José Javier Múgica Astibia (2001)
Etat de la fourgonnette de José Javier Múgica, conseiller municipal de UPN (Union du Peuple Navarre) à la Mairie de Leitza, après l’explosion de la bombe qui lui causa la mort. (José Antonio Goñi)
Navarre
José Javier Múgica Astibia (2001)
La puissance de l’explosion causa des dommages dans les véhicules et les édifices proches. (José Antonio Goñi)
Navarre
José Javier Múgica Astibia (2001)
La veuve et les enfants de José Javier Múgica se serrent dans les bras, agenouillés, devant Miguel Sanz, alors Président du Gouvernement de Navarre. (José Antonio Goñi)
Navarre
Juan Carlos Beiro Montes (2002)
L’explosion d’une bombe cachée près d’une pancarte piège dans un talus aux environs de Leitza tua le sergent de la Gendarmerie Juan Carlos Beiro. (Buxens)
Navarre
Juan Carlos Beiro Montes (2002)
Un agent de la Gendarmerie, près du talus de la route proche de Leitza, où les terroristes avaient placé la bombe. (Buxens)
Navarre
Juan Carlos Beiro Montes (2002)
Très peu d’habitants de Leitza se manifestèrent pour condamner l’attentat. (Diario de Navarra)
Navarre
Julián Embid Luna, Bonifacio Martín Hernández (2003)
L’explosion d’une bombe collée sous la voiture des agents de la Police nationale tua Julián Embid et Bonifacio Martín. (José Antonio Goñi)
Navarre
Julián Embid Luna, Bonifacio Martín Hernández (2003)
Une voisine observe depuis son balcon l’endroit de l’explosion peu après l’attentat. (Javier Lesaca)
Navarre
Julián Embid Luna, Bonifacio Martín Hernández (2003)
Les pompiers recueillirent les restes mortels des victimes à plusieurs mètres de distance de l’endroit de l’attentat. (Diario de Navarra)
Pays Basque
Luis Delgado Villalonga (1988), Jaime Bilbao Iglesias (1988)
La façade de l’immeuble de la Direction générale de la Gendarmerie après l’explosion d’une voiture-bombe qui tua l’enfant de deux ans Luis Delgado et l’employé de la Télévision Espagnole Jaime Bilbao. Source: ABC.
Pays Basque
Eduardo Antonio Puelles García (2009)
État de la voiture du policier Eduardo Puelles après l’explosion de la bombe ventouse qui le tua à Arrigorriaga. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Isaías Carrasco Miguel (2008)
Des gendarmes de l’Ertzaintza réalisent des inspections où fut tiré l’exconseiller municipal du PSE, Isaías Carrasco. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Ana Isabel Aróstegi Legarreta (2001), Javier Mijangos Martínez de Bujo (2001)
Les collegues des Ertzaintzas Javier Mijangos et Ana Isabel Aróstegui, qui furent criblés de balles à Beasáin par l’ETA, surveillent les corps des agents assassinés. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Joseba Pagazaurtundúa Ruíz (2003)
Le policier municipal, Joseba Pagazaurtundúa, quelques heures après sa mort, pendant son transport à l’hôpital Donostia, après avoir reçu des balles tirées par un membre de l’ETA dans un bar de Andoain. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Isaías Carrasco Miguel (2008)
Un gendarme de l’Ertzaintza montre les impacts de balle qui ont tué Isaías Carrasco, abattu par des membres de l’ETA à Mondragon. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Santiago Oleaga Elejabarrieta (2001)
Agents de sécurité surveillent le lieu où fut assassiné Santiago Oleaga, par les tirs de l’ETA, à Saint Sébastien. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Santiago Oleaga Elejabarrieta (2001)
Agents de sécurité transportent le cadavre du directeur financier du Diario Vasco, Santiago Oleaga, qui fut abattu par des tirs de l’ETA à Saint Sébastien. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Jesús María Pedrosa Urkiza (2000)
Un prêtre prie à côté du corps de Jesús Mª Pedrosa, conseiller municipal du PP assassiné à Durango. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Jesús María Pedrosa Urkiza (2000)
Des agents de sécuritéréalisent des inspections où l’ETA a tiré sur le conseiller municipal du PP, Jesús Mª Pedrosa, abattu à Durango. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Manuel Francisco Zamarreño Villoria (1998)
Un membre de l’Ertzaintza prend des photos de la moto sur laquelle l’ETA avait mis trois kilos d’ammonal pour tuer à Rentería le conseiller municipal du PP Manuel Zamareño. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Manuel Francisco Zamarreño Villoria (1998)
Corps sans vie du conseiller municipal du PP Manuel Zamareño, brusquement assassiné par l’ETA à Rentería à la moto piégée. Source dinformation: ABC
Pays Basque
José Manuel Olarte Urreizti (1994)
Lieu où tomba mort l’entrepreneur José Manuel Olarte, criblé de balles par des membres de l’ETA pendant qu’il jouait aux cartes dans un bar à Saint Sébastien. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Isidro Usabiaga Esnaola (1996)
Des gendarmes de la police basque réalisent des inspections sur la place où l’ETA a tiré sur l’entrepreneur Isidro Usabiada, assassiné à Ordicia. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Eugenio Olaciregui Borda (1997)
Des gendarmes de l’Ertzaintza inspectent les alentours où l’ETA a tué Eugenio Olaciregui, à Saint Sébastien. Source dinformation: ABC
Pays Basque
José Antonio Barrado Recio (1988)
État de la voiture policière où voyageait l’agent José Antonio Barrado, assassiné par l’ETA à la voiture piégée. Source dinformation: ABC
Pays Basque
José Francisco Hernández Herrera (1990), Daniel López Tizón (1990)
État de la voiture dans laquelle se trouvaient, parmi d’autres, Daniel López et José Francisco Herrera, morts à cause d’une bombe de l’ETA. Source dinformation: ABC
Pays Basque
José Antonio Santamaría Vaqueriza (1993)
Un agent de sécurité surveille le transport du corps de l’entrepreneur José Antonio Santamaría, tué à Saint Sébastien par l’ETA. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Ramón Bañuelos Echevarria (1988)
La voiture du marchand ambulant Ramón Bañuelos après l’explosion de la bombe ventouse de l’ETA à Bilbao. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Ramón Bañuelos Echevarria (1988)
La voiture du marchand ambulant Ramón Bañuelos après l’explosion de la bombe ventouse de l’ETA à Bilbao. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Ramón Bañuelos Echevarria (1988)
Corps du marchand ambulant Ramón Bañuelos, tué par l’ETA en utilisant une bombe ventouse. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Joseph Couchot (1984)
Lieu du crime où l’ETA assassina l’entrepreneur Joseph Couchot, dans un restaurant à Irun. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Enrique Moreno Arguilea (1986)
Moment où la soeur de Enrique Moreno découvrit que la personne abattue par une balle dans la tête était son frère. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Pedro Barquero González (1983), María Dolores Ledo García (1983), Julio Segarra Blanco (1983)
Les cadavres du policier national et de sa femme, enceinte de sept mois, Mª Dolores Ledo, juste après l’assassinat comis par un commando de l’E TA dans un parking de Bilbao. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Ángel Pascual Múgica (1982)
Corps sans vie de Angel Pascual, chef de projets de la centrale Nucléaire de Lemoniz, qui fut abattu par l’ETA à Bilbao pendant qu’il conduisait sa voiture. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Eduardo Vadillo Vadillo (1983)
État de la voiture de Eduardo Vadillo après qu’elle fut atteinte par le souffle d’une bombe de lETA . Source dinformation: ABC
Pays Basque
Juan de Dios Doval de Mateo (1980)
Voiture où fut assassiné le professeur Juan de Dios Doval, tué par l’ETA à Saint Sébastien. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Carlos García Fernádez (1980)
Carlos García était propriétaire du bureau de tabacs à Eibar. Il fut tiré de balles par l’ETA à l’intérieur de son établissement. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Avelino Palma Brioa (1980), Ángel Prado Mella (1980), José Luís Vázquez Plata (1980)
Image prise après l’assassinat du caporal Avelino Palma, l’agent Ángel Prado et le Caporal Chef José Luis Vázquez, criblés de balles par des membres de l’ETA à Salvatierra. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Benito Morales Fabián (1980)
Le corps de Benito Morales fut trouvé dans le coffre de son taxi. Il avait été handicapé par l’ETA quelques jours auparavant à Renteria. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Francisco Medina Albala (1979)
Corps sans vie de Francisco Medina, qui fut abattu par des terroristes de l’ETA à Saint Sébastien. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Antonio Pérez García (1979)
Corps sans vie de Antonio Pérez, surveillant de sécurité, qui fut abattu par l’ETA à Lemona, pendant qu’il conduisait sa voiture. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Lisardo Sampil Belmonte (1978)
Des jeunes du village de Yurre regardent le corps couvert de -Lisardo Sampil, chauffeur de taxi assassiné par l’ETA. Source dinformation: ABC
Pays Basque
Lisardo Sampil Belmonte (1978)
Quelques personnes sortent le corps du chauffeur de taxi, -Lisardo Sampil, de la voiture où il fut tué par l’ETA . Source dinformation: ABC